Orgeval en mouvement

Evénement spécial

Jour de fête à orgeval

D’un rassemblement hip hop à des cartes postales vivantes en passant par une pièce chorégraphique chorale, Orgeval se met en mouvement autour de projets participatifs. Un festival d’un jour pour fêter la fin de la saison !

Maëva Abdelhafid "Les voix du cypher"

Porté par la chorégraphe Maëva Abdelhafid, ce projet intègre un groupe d’adolescents et d’adolescentes à une compagnie de hip hop professionnelle, au sein d’un cypher, soit un cercle de battle où les interprètes partagent un moment spontané d’échange dansé et de freestyle. Quatre danseurs et danseuses de la compagnie livrent ensuite une seconde lecture de cette expérience, dans laquelle ils décortiquent les danses hip hop et en exposent les enjeux pour montrer comment les représentations normatives et les injonctions sociales modèlent l’approche de nos corps et de leur mise en mouvement.

Marie Cambois "Nuée #2"

Cette pièce participative s’inspire des « murmurations », terme qui désigne le mystérieux phénomène des nuées d’étourneaux dessinant des figures dans le ciel. Dans une partition chorégraphique, créée pour des amateurs en 2022, Marie Cambois décline ces mouvements d’ensemble où chaque individu fait partie d’un tout. Accessible à tous ceux et celles qui ont envie d’être impliqué dans un processus de création, cette pièce sera transmise à un nouveau groupe d’amateurs et amatrices, à l’occasion d’Orgeval en mouvement. Envolez-vous vers une expérience unique.


Marlène llop / collectif balle perdue "Cartes postales d'orgeval"

À travers des spectacles hybrides dans l’espace public, le collectif Balle perdue a l’art de transformer la réalité ordinaire, en s’amusant avec les codes des clips, du cinéma et de la culture pop. Fidèles à leur approche décalée, ils détournent ici le concept de carte postale pour imaginer des images kitsch, voire absurdes, avec la complicité des habitants du quartier. Tout au long de la saison, des cartes vivantes seront mises en scène et fabriquées dans une esthétique ultra-pop.

© Cedrick Bonnaire